La machine
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Où trouver La machine dans le Tarn ?
Du 11 décembre au 18 décembre Hall Théâtre Castres
Du 9 février au 18 février Hall Grand Théâtre Albi
Dans ce nouveau projet de LABKINE, Valeria Giuga s’associe à la plasticienne Claire Pollet, au poète sonore Anne-James Chaton et au musicien Andy Moor pour créer l’installation LA MACHINE.
Dans son travail chorégraphique, Valeria Giuga développe, en étroite collaboration avec des auteurs, des projets dans lesquels elle invente son propre procédé de création chorégraphique reliant le mot et le geste.
Dans ses pièces, elle met en relation des partitions écrites en cinétographie Laban (système d’écriture du mouvement constitué de signes) avec des textes originaux ou de grands poètes tels que Gertrude Stein ou Kurt Schwitters.
Par des systèmes de correspondance ou de contrainte, Valeria Giuga travaille le concept de mémoire allant du souvenir au “par coeur” jusqu’à la limite de l’oubli.
L’écriture chorégraphique et textuelle parfois en boucles répétitives ou jeux de permutation, se prête parfaitement à ces jeux de réécriture devenant machine à produire du mouvement. Et les danseurs, transformés en “corps-machines”, interprètent leur “ballet mécanique”.
De cette expérience nous est venue l’idée de produire le projet LA MACHINE qui est à la fois une installation constituée d’une borne à écrire du mouvement et une performance dansée par trois interprètes de LABKINE et partagée avec des amateurs à la façon d’une danse chorale.
LA MACHINE est un hybride entre une borne de jeu Arcade et une machine à sous (avec jackpot !) générant des mouvements sur le principe du tirage au sort. Valeria Giuga prend en charge l’écriture chorégraphique et la direction artistique des danseurs, Claire Pollet conçoit la réalisation technique (programmation informatique, design graphique), Anne-James Chaton et Andy Moor créent l’univers textuel et sonore.