Nous partirons de ce qui est là, toujours disponible ; les corps, dans une présence attentive aux mouvements des deux côtés de la peau, la terre, pour dialoguer avec la gravité, l’air pour déployer l’imaginaire et tracer des chemins du dedans au dehors et du dehors au dedans, le présent pour investi la profondeur de l’entre, ce réseau de relations toujours changeantes, les flux, l’énergie, le souffle et tout ce qui ondule afin de laisser venir des danses. Danser, prendre en compte ce qui nous est commun, inscrire nos gestes sur, dans, avec la toile de fond de ce qui vit, palpite et bruisse.